La Manade est fière de maintenir nos Traditions Taurines. Nous serons là pour vous proposer les prestations qui attirent tant d’Afficionados, Abrivado, bandido, taureau-piscine, encierro et course de vachettes.
Les fêtes votives, ces rencontres humaines d’Afficionados avec cet engouement pour voir les taureaux et chevaux déferler dans les rues. Les AttrapaÏres toujours plus fous, prenant des risques pour affronter les taureaux. Bravo à eux de nous faire le spectacle en prouvant leur courage.
Nous avons la chance d’avoir des Comités des fêtes, Clubs taurins, Cafetiers, Communes et Collectivités pour faire perdurer nos traditions. Nos belles férias de Nîmes et d’Alès qui mettent aussi en valeur nos traditions taurines.
« Tout cela nous conforte à continuer ce beau métier »

l'Abrivado-La Bandido
L'Encierro
Le Taureau Piscine
Les Abrivados et les Bandidos s’organisent depuis une arène ou d’un char (camion pour le transport des taureaux) vers un autre char. Les taureaux sont encadrés par des gardians à cheval qui les guident. Aujourd’hui les parcours sont fermés par des barrières de manière hermétique ou pas.
L ’Encierro est un terme espagnol à l’origine qui signifie littéralement « enfermement » et désigne un lâcher de taureaux sur un parcours fermé de manière hermétique par des barrières de protection.
Des vachettes aux cornes emboulées sont lâchées dans une arène où l’on a disposé une piscine au centre. Elle est généralement carrée, faite de ballots de paille recouverts d’une bâche de matière plastique1. Le jeu consiste à attirer la vachette dans l’eau à l’aide de différentes épreuves.
Chacune de ces manifestations est précédée d’un tir de bombe pour annoncer le commencement du lâcher de taureaux, une bombe est également tirée à la fin de la manifestation afin d’éviter tout risque d’accident avec les spectateurs, souvent très nombreux.

La Course de Taureaux ou de Vaches
Ces courses ont lieu dans des arènes où les bêtes sont « habillées » d’attributs appelés Cocarde (petit bout de tissu rouge) fixée par une ficelle sur le frontal, de deux glands positionnées sur la racine des cornes et enfin les ficelles, sur chaque corne. Ces attributs sont dotés d’une somme de départ qui augmente au fur et à mesure de la course jusqu’à ce qu’un « razeteur » lève l’attribut. Pour cela, il possède une sorte de crochet à la main, sans risque pour l’animal. Le raseteur court et doit passer devant le taureau ou la vache, en posant sa main sur la tête du bétail, en traversant souvent la piste et finir sa course en sautant par-dessus la contre piste.Les grandes courses sont souvent précédées par un spectacle qui retrace ou qui a pour thème nos belles traditions taurine, la Camargue, en présence de gardians, Arlésiennes en costume traditionnel et musiques folkloriques.
Ces courses sont aujourd’hui reconnues comme un sport à part entière, le Trophée des As est un championnat (points et classement des raseteurs) étalé sur toute une saison, et il est donc reconnu par le ministère des sports et de la culture.Lors de ces courses, il n’y a aucune mise à mort, les taureaux sont mêmes glorifiés et vénérés. Les meilleurs d’entre eux peuvent prétendre au titre de Bioù d’Or, remis lors de la finale du Trophée des As. Pour certains, à leur mort, ils sont enterrés et statufiés. Pour les plus célèbres : GOYA, VOVO, LE SANGLIER, LE CLAIRON….
Que la fé di bioù perdure
